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Défendre notre territoire

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Comité de soutien

Jean-Michel BAYLET

(Président du PRG, ancien Ministre, Sénateur, Président du Conseil Général de Tarn et Garonne)

Dominique ORLIAC

(Députée du Lot)

Sylvia PINEL
(Députée du Tarn et Garonne)

Roger-Gérard SCHWARTZENBERG

(Vice-Président du PRG, ancien Ministre)

Marcel BOURGAREL

(Président d'une association caritative)

Philippe CALMEL

(Ancien Directeur de la Maison pour tous de Châtellerault)

16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 08:46

   "SCOFF", comme nous l'appelions au lycée DESCARTES, nous a quittés.

    Militaire en retraite comme l'étaient notamment Monsieur PARNY, professeur d'histoire-géographie, et Monsieur BALHADERE, professeur de français-latin, Jean SCOFFONI a enseigné l'anglais à des générations de lycéens, avec un sens rigoureux de la discipline.

   Je l'ai retrouvé paroissien engagé à ANTOIGNE, acteur du parcours de foi Alpha et lecteur à la voix portante au lutrin de l'église: impressionnant!

    Il rejoint dans la Grande Paix son épouse, qui fut assistante sociale à la SFENA.

    Merci, SCOFF.

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16 septembre 2011 5 16 /09 /septembre /2011 06:47

   La mi-mandat n'est pas l'ami Bidasse mais on pourrait chanter sur le même ton.

   On voit que des choses matérielles ont été faites, comme n'importe qui aurait pu les initier: la voirie, les ronds points, que des réalisations déjà programmées du temps de l'ancien pouvoir ont été concrétisées (pépinière d'entreprises, Ozon), que d'autres ont été boostées (conservatoire, ancien théâtre), que des événements festifs ont été bien valorisés en s'inspirant des idées des autres (pont Henri IV, bateliers, fête des sports), que des services ont été mieux outillés (associations, archives par exemple), que l'accès -mairie a été réfléchi (salle de l'ancien musée, accueil à venir).

   C'est bien, mais élit-on les gens seulement pour cela?

   Quid de l'expression démocratique véritable par quartier? Quid de l'Ecole de Gendarmerie désertée? Quid d'une maison de la Justice après la fermeture du CPH notamment? Quid de la prévention des difficultés des entreprises et du sort des licenciés non reconvertis de FABRIS? Quid de l'urgence d'un maintien ferroviaire correct vers PARIS avec la LGV?  Quid d'un arrêt TER au Futuroscope? Quid de la diminution du nombre d'enfants inscrits dans les écoles publiques? Quid du vieillissement de la population?  Quid d'un urbanisme qui fasse revenir des jeunes foyers et des classes moyennes en ville? Quid de la mort lente du petit commerce? Quid de la ghettoïsation de certains immeubles? Quid des armes à feu qui circulent à la vue des gens?  Quid d'un quart des inscrits, qui, quand ils viennent voter, votent FN, etc, etc...

    Bien sûr, dans la perspective des municipales de 2014, si elles ne sont pas décalées d'un an (c'est la mode), il y aura, sans affronter le fond des choses, une montée en puissance de la communication politique autour des réalisations et des projets; mais tiens d'ailleurs, qui conduira ces derniers à droite? Question.

   

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 10:06

    C'est ainsi que France Soir, il y a quelques jours, a présenté Jean-Michel BAYLET, seul candidat non socialiste aux primaires dites citoyennes grâce à lui.

    C'est vrai que dans le groupe des six, le sénateur et président du conseil général de Tarn et Garonne illustre vraiment le radicalisme, cette République des territoires.

     Les autres candidats, socialistes, appartiennent plutôt à la mouvance des machines de guerre politique parisienne, quelles que soient les responsabilités qu'ils sont allés chercher par la suite hors de PARIS pour trouver une onction populaire.

     On s'apercevra d'ailleurs que la ruralité (et, au-delà, une bonne part de la province) sera fort absente de ce processus des primaires, que demandaient pourtant les Radicaux depuis 2005, car il ne s'agit pas cette fois de voter dans le seul secret des isoloirs mais de se dévoiler dès l'entrée dans le bureau de vote comme un sympathisant de gauche; à la campagne beaucoup de gens sont encore discrets et politiquement pudiques; et si on peut voter pour un maire qui se dit de gauche, et qui peut l'être, on le fait souvent en considération de sa personne plus que de son étiquette.

      Dans ces conditions, le "cousin de province", ardent défenseur engagé du service public en milieu rural (poste, gendarmerie, école, etc...), risque de faire les frais d'une machinerie médiatique centralisatrice très parisienne qui le marginalisera.

      Mais peut-être que dès le 25 septembre, Jean-Michel BAYLET aura une belle nouvelle à nous annoncer pour la présidence du Sénat, résultante de la République des territoires, justement, et abordera la ligne droite des primaires avec un prestige qui sied à sa valeur réelle, lui qui fut secrétaire d'Etat et ministre sous MITTERRAND.

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 06:35

     Le conseil municipal, avec ses imperfections et ses outrances relationnelles, reste malgré tout le lieu du débat démocratique d'une ville.

    A CHATELLERAULT, entre l'été et la fin de l'année, nous n'aurons que le 29 septembre (pour la foire de la Saint Michel en revenant des Hérolles) et le 8 décembre (pour la fête de l'Immaculée conception qui prend souvent la forme aujourd'hui, notamment à LYON, d'une fête des Lumières).

    Pour le maire, c'est beaucoup plus confortable ainsi, cela évite les prises de tête et de bec(s), mais l'expression de la citoyenneté, en l'absence  par ailleurs de démocratie de proximité, y perd ce qui fait le fondement du mandat politique: l'art de  débattre et de délibérer au nom de ceux qui vous ont élus.

     Par contre, tous les quinze jours, pour le magazine de la "com", là, ça carbure!

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 06:18

    La rumeur court, enfle et prospère: une discothèque ouvrirait prochainement à SAINT SAUVEUR.

    C'est vrai qu'autrefois on savait s'y amuser.

    Chez Blanche, en face l'église, une minuscule salle de bal regorgeait de danseurs.

    En contrebas du chevet de l'église des parquets ont été installés contre le café chez Jeanine: je me souviens d'un bal avec l'orchestre Claude ALBERT dont le batteur était le regretté Michel BOURUMEAU, "Bouru", le menuisier de SENILLE, un spectacle à lui tout seul.

     Route de PLEUMARTIN, la Justice ne désemplissait pas (c'est vrai que la justice a envoyé beaucoup de gens valser...).

     Compte tenu des normes sécuritaires d'aujourd'hui, une discothèque ne pourrait être implantée qu'en dehors du bourg: on parle d'une réutilisation d'un site industriel, d'une exploitation agricole reconvertie, certains ont vu passer cet été des dizaines de toupies de béton, certains évoquent un double laser aérien visible depuis LE BLANC et même un laser souterrain (?), d'autres encore disent connaître son nom: le CHUP'HOME.

      Mais c'est où?!!!

      Une entrée gratuite pendant un an à qui fera progresser utilement l'enquête.

    

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 06:51

    Le numéro du journal La Croix du 5 septembre consacre un long article illustré à la gloire de la coutellerie de la ville de THIERS.

   Contrairement à celle de CHATELLERAULT, bien qu'ayant également été "saignée" par les guerres de religion et le départ des protestants industrieux, la coutellerie deTHIERS non seulement a survécu mais encore s'est ... forgé une image moderne avec dépôt à l'INPI d'un certain type de couteau universellement connu.       .

    Notre première adjointe a d'emblée décidé que la fête de l'an prochain en fin d'été serait consacrée à la coutellerie, il y a certainement des idées à prendre là-bas.

    Il se dit à THIERS que la coutellerie tiendrait son origine des croisades; pour nous, au-delà de la qualité reconnue de l'eau de nos rivières la Vienne et le Clain pour le refroidissement des lames, on peut se demander en effet si l'arrivée et l'implantation des sarrazins avec leurs cimeterres dès 732 ne seraient pas une piste d'explication originaire de notre coutellerie. 

    

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 06:38

     C'est fini!

     Après la liquidation du fonds de commerce de ce café atypique du quai Napoléon malgré mes efforts sur toute une période judiciaire poitevine, voici désormais, après quelques opérations malheureuses et abandonnées de destruction-reconstruction la vente aux enchères publiques des murs du Grenadier français au Tribunal de POITIERS le 11octobre prochain.

     Mise à prix: 35 000 euros. Hormis l'emplacement, c'est cher!

     Comme je l'ai écrit il n'y a pas si longtemps, notre projet, dans le cadre de la réhabilitation des rives de la Vienne et du quai Napoléon en particulier, était de faire de cet immeuble le siège de la "capitainerie du port", local informatif et directionnel des opérations qui aurait pu aussi abriter un musée de la batellerie.

      Que la Ville puisse préempter ce bâtiment stratégique nous paraît indispensable.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 08:22

    Pour ce triste dixième aniversaire, tout le monde interviewé ou non y va de son: "Le dix septembre, j'étais ici, je faisais cela", etc...

    Le 10 septembre 2001, je me trouvais à PARIS, à l'Institut des Hautes Etudes de la Sécurité Intérieure.

    Je faisais partie, au niveau national, d'un groupe de travail régulier dont j'étais le seul magistrat du parquet en charge des mineurs; il y avait des personnes de l'Education nationale, de la Police, des travailleurs sociaux, des élus, des chercheurs dont Hugues LAGRANGE,  l'éducateur prêtre salésien Jean-Marie PETITCLERC et d'autres; nous devions faire au Garde des Sceaux des propositions en matière de lutte contre la délinquance juvénile; on pourra en reparler un jour.

     Puis, tout à coup, irruption d'une secrétaire auprès de Claude BEAU, magistrate à l'IHESI, et l'information de NEW YORK à laquelle, d'abord, nous ne pouvons croire car elle était conceptuellement impossible pour nos représentations de l'Amérique.

     Il fut impossible de continuer à réfléchir et à produire.

     En regagnant MONTPARNASSE, je regardais cette tour, déjà immense pour nous, et tous les pigeons étaient signes de notre liberté.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 06:38

    En vacances en Chartreuse, j'achète le lundi à la librairie exceptionnelle des Dominicaines de CHALAIS l'ouvrage d'Henri JM NOUWEN, pasteur néerlandais, "Le retour de l'enfant prodigue" (Espaces libres, Albin Michel), écrit sur sa passion du tableau de REMBRANDT, qui se trouve à SAINT PETERSBOURG, adapté de l'Evangile de Luc. Passion que je partage, pour la parabole et pour le tableau.

    Le vendredi, visite au musée ARCABAS dans l'église Saint Pierre de Chartreuse, et là, dans l'une des fresques, "le fils perdu et retrouvé", peint par ARCABAS: remarquable.

    Bien sûr, on ne peut comparer les deux tableaux, réalisés à trois siècles d'écart, avec des vies si différentes.

   Je dévore le livre, passant d'une reproduction à l'autre. Ouvrage majeur, que tout le monde devrait lire.

    Après, il faut redescendre sur terre...

 

    (1) Pour mon ami lecteur qui aimerait que je parle aussi des chats et pas seulement des chiens, ARCABAS a peint, librement, au pied du Père, un chien qui renifle le fils perdu et retrouvé, comme s'il était un étranger, se remémorant difficilement une odeur passée. Renvoi à Argos, le chien d'Ulysse, qui, lui, le reconnaît malgré son déguisement de mendiant.

    (1) L'institut néerlandais présente à PARIS jusqu'au 2 octobre un vingtaine de dessins de REMBRANDT, dont ... "Femme rassurant un enfant effrayé par un chien". La boucle est bouclée!

   

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10 septembre 2011 6 10 /09 /septembre /2011 06:48

   Merci à un ami blogueur d'avoir évoqué sur son site la Saint Gilles, et d'énumérer tous les Gilles qu'il appréciait.

   Peu d'églises sont dédiées à Saint Gilles; celle de l'Ile Bouchard lui est vouée, avec un beau vitrail central qui raconte la légende du saint, près de sa biche, et faisant opposition au roi Wamba. D'autres sources indiquent Dagobert 1er.

   Saint Gilles est le saint patron des estropiés, le protecteur des plus fragiles et des mères qui allaitent; il est invoqué contre la peur et le feu, et pour la guérison des maladies nerveuses. Bref, c'est un saint qui a du boulot!

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