1 janvier 2008
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Notre équipe est constituée depuis longtemps, ce qui n'est pas le cas des adversaires, englués dans leurs dosages politiques pour les uns (du côté de ce qu'on appelle la gauche) et dans leurs inimitiés coriaces pour les autres (du côté de ce qu'on appelle la droite) ; on apprend ainsi à gauche que pour avoir sur la liste la candidate Verte Véronique MASSONNEAU qui est domiciliée à NAINTRE où elle a ses centres d'intérêt familiaux, parce qu'elle a fait en gros 6 % aux Législatives (oui mais on oublie qu'elle a récupéré des votes socialistes déçus de la candidate qu'on leur impose continuement), on est contraint d'exclure des gens estimables et engagés depuis longtemps dans notre cité et la défense des libertés (par exemple un professeur d'économie retraité impliqué dans les jumelages) ; que pour faire plaisir au Parti communiste qui a fait 1,99 % des voix à Chateauneuf pour la Présidentielle et attribuer à ses sexagénaires des places prétendument éligibles, on est obligé de reculer dans les quasi derniers rangs des gens jeunes, toniques, travaillant dans l'industrie, aimant leur quartier (par exemple un habitant d'Antoigné extrêmement courtois, travaillant chez Thalès, qui ne connait pas toute l'histoire politique locale, mais apprend à la connaitre à ses dépens) : ah ! la noblesse de la politique...
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31 décembre 2007
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J'ai choisi une nouvelle fois de passer cette période joyeuse pour les uns, difficile pour les autres, au milieu des Châtelleraudais auxquels je souhaite pour 2008, outre la santé bien sûr, du courage, du discernement, de l'audace, de l'altruisme, de la fraternité et l'assurance d'une ville réconciliée avec ses élus.
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Billets d'humeur
27 décembre 2007
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Le mot "cocufié" employé à mon adresse par Philippe RABIT dans La Nouvelle République du 26 décembre 2007 me choque, d'abord comme vulgaire dans la bouche altière d'un homme en apparence si bien élevé, ensuite puisque pour être "cocufié" il faudrait déjà être marié politiquement ou avoir des familiarités avec un clan, ou avoir reçu et accepté des promesses de fiançailles municipales, or je suis un homme libre et je n'ai rien sollicité de quiconque.
Il est vrai qu'en matière de cocuage politique Philippe RABIT en connaît un rayon, lui qui est régulièrement utilisé par CRESSON puis par TONDUSSON comme "l'amant politique" des élections triangulaires, empêchant par son maintien au second tour en 2001 l'élection aux Municipales de Gilbert GUERINEAU pour 300 voix, et empêchant en 2004 par le maintien d'Evelyne AZIARI pour 17 voix un authentique affrontement au second tour sur le canton Ouest entre le maire actuel et le même Gilbert GUERINEAU, dont personne aujourd'hui ne pourrait dire quelle en aurait été l'issue sans ces mascarades. La face politique de la ville en serait toute différente aujourd'hui, nous n'aurions pas eu en 2002 le scandale des Montgolfières et tout le monde doit l'entendre, alors que les Châtelleraudais souffrent.
Les numéros de lyrisme budgétaire de Philippe RABIT aux Conseils municipaux sont des numéros de clown quand on connaît les accords entre ces gens-là, au mépris des militants authentiques de gauche comme de droite que l'on floue par des postures qui sont en fait des impostures.
S'il a du courage, que Philippe RABIT aille affronter les électeurs d'AVAILLES en CHATELLERAULT où il est domicilié, et qu'il sorte de son château pour affronter la misère de nombreux Châtelleraudais plutôt que de continuer à jouer en descendant du TGV le rôle du petit receleur de triangulaires que le pouvoir en place, cette gauche officielle si morale dont il est redevable, lui demande de jouer depuis trop longtemps : le personnage est démasqué!
Que l'on ne se méprenne pas, les clivages politiques sont pervertis à CHATELLERAULT, et si Philippe RABIT entend se maintenir mordicus, ce n'est pas pour nuire à Jean-Pierre ABELIN qui sait qu'il ne sera jamais maire dans cette ville de gauche - centre gauche, mais pour tenter de me prendre des voix sur le centre et la droite, face à Joël TONDUSSON et à la défunte gauche plurielle.
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20 décembre 2007
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3 : le secrétaire d'un goupe d'élus au sein de la municipalité actuelle démarche des artistes ou des troupes musicales en les conviant à participer le 11 janvier 2008 à une "grande soirée châtelleraudaise" sans leur dire qu'il s'agit de la cérémonie de présentation de liste du maire actuel ; ce n'est pas très beau... du coup, certains de ces artistes préfèrent venir avec nous le 9 janvier au Nouveau Théâtre en sachant de quoi il s'agit.
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18 décembre 2007
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2 : d'aucuns s'échinent à vouloir faire changer de camp certains des co-listiers de CHATELLERAULT UNI EN MARCHE : trop tard !...Une élection ne se prépare jamais trop tôt et les hommes et les femmes qui m'accompagnent travaillent depuis longtemps ENSEMBLE ; il s'est créé une ambiance de vertu publique et même de bonheur que je n'ai rencontrée nulle part ailleurs dans un parti et qu'ils entendent bonifier par l'élection, ENSEMBLE.
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17 décembre 2007
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1 : des personnes distribuant le fameux questionnaire du maire actuel sollicitent les gens rencontrés pour qu'ils adhérent à la section locale du Parti Socialiste avec l'argument suivant "Il faut se rassembler pour lutter contre un gros candidat du Front National qui va faire au moins 20 %" : ouf ! ce n'est pas moi puisque je ne dois totaliser que 5 % ! ; qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour recruter les bras naïfs qui manquent à remplir les boites aux lettres ? !...
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12 décembre 2007
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14:00
Mon avis a été sollicité relativement au sort du mini traité européen.
Sur une telle question, politiquement primordiale, seul le référendum est admissible.
Cependant, dans notre pays, le référendum est d'abord vécu, quelle que soit la question, comme un plébiscite contre ou pour le pouvoir en place, comme un moyen de réajuster les effets d'un scrutin précédent ou de préparer, en sondage grandeur nature, l'échéance électorale suivante.
C'est pourquoi j'encouragerai tous les efforts tendant à l'éducation populaire de nos concitoyens par l'apprentissage du discernement et de la délibération, en particulier à travers l'instauration d'une véritable démocratie locale exprimée par de vrais conseils de quartiers.
C'est en ce sens que je participe à la soirée organisée par les "Châtelleraudais réunis" le 14 décembre à 20 heures à la salle de la Gornière.
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