Alors que mon comportement a été mis en cause sans fondement par Edith CRESSON, Annick BOURROUX a tenu à ce que son témoignage soit publié sur le blog; je l'en remercie.
"En 1983, c'est avec plaisir et fierté que j'ai participé à la vie de la Cité en tant que conseillère municipale aux côtés d'Edith CRESSON pour laquelle j'ai beaucoup de respect. Son dévouement pour la ville et les Châtelleraudais est incontestable, mais cela ne lui donne pas pour autant le droit d'affirmer des contre-vérités sous forme de rumeur invérifiable.
A l'époque, élue et militante très active au Parti socialiste, je peux témoigner que jamais je n'ai eu connaissance de conflits, majeurs ou mineurs, alimentés par Gilles MICHAUD à l'encontre de Robert CHATEAU, et encore moins de conduites désobligeantes envers quiconque. Ceux qui le connaissent bien savent que ce n'était pas son genre.
Par contre, de cette époque j'ai le souvenir de la présence active et dévouée d'Hélène MICHAUD alors attachée parlementaire de Guy MONJALON, député suppléant d'Edith, et de celle de Gilles, militant très fraternel lorsque ses fonctions le permettaient.
Avec le temps, je trouve très regrettable qu'Edith CRESSON ait préféré progressivement le chant des sirènes au travail honnête, direct et fiable d'un Gilles MICHAUD dont la droiture est dépuis longtemps légendaire. Elle aurait peut-être alors évité de traverser les heures les plus sombres de ses fonctions au service de l'Etat qu'elle doit indubitablement aux mauvais conseils de certains de ses soi-disants bons amis. Cela m'attriste beaucoup, elle méritait mieux."
Signé: Annick BOURROUX