J'ai une passion pour les Templiers, ces moines-soldats exterminés par Philippe Le Bel, qui ont notamment séjourné à la Commanderie d'Ozon.
Au soir d'une défaite électorale, ceux qui ont une foi politique éprouvent souvent le complexe du Templier: est-ce que je reste dans la commanderie à prier et à servir mes frères d'armes dans les tâches du quotidien, ou bien est-ce que je pars au combat sur mon destrier, épée dressée vers le ciel?
Vous connaissez ma réponse: je pars au combat, à fond, mais dès que je trouve un calvaire ou une chapelle, j'attache ma bête, je m'isole, et je reprends des forces, moine et soldat.