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Défendre notre territoire

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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 18:50
Pendant très longtemps, et ce fut dans la tradition familiale et paternaliste de FABRIS, il n'y avait pas, et ne devait pas y avoir, de syndicat(s) dans l'entreprise.

Il régnait une conception immuable de l'ordre social.


Ce qui fait qu'à certains moments importants dans la vie de la société et qui allaient la dénaturer dans son capital, son contrôle et son organisation, la prise en compte des observations éventuelles des salariés n'a pas été formalisée.


Et finalement, quand les syndicats sont arrivés, avec leur concurrence interne, d'une certaine manière c'était déjà trop tard; le manque de culture d'entreprise, l'absence d'une pratique du respect mutuel et de la négociation, même ardue, sont des handicaps qui ne peuvent pas être surmontés.


L'explosion sociale de FABRIS à partir du redressement puis de la liquidation s'explique en grande partie par ce manque cruel et durable de partage et d'écoute qui fait que seule la violence est possible pour dire sa peine et son désaccord.


Certaines "boîtes" qui sont découpées en autant de sites de 49 salariés qu'il en faut pour éviter un comité d'entreprise feraient bien d'y songer.

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