C'est ainsi que l'ancien maire qualifie le choix possible de m'intégrer dans une équipe municipale de gauche en 2014. J'y reviendrai plus tard.
Mais d'ores et déjà ce que je tiens à dire à l'opinion avec gravité parce que le temps nous presse, c'est qu'en réalité, replié sur lui-même, aigri, haineux, confiné dans son ego sans aucun souci de l'intérêt général, par vengeance contre tous, l'ancien maire n'a désormais qu'un dessein, c'est, après lui, installer comme ATTILA le désert, que plus rien ne repousse et que tous perdent: MICHAUD, bien sûr, mais aussi mes quelques proches qui sont allés au PS (à quoi ça leur sert?!), CIBERT, GUERIN et tous ceux qui ont envie d'oeuvrer dans la paix pour leur ville.
Ses outrances verbales ont déjà provoqué dès avril 2008 une rupture avec les écologistes qui n'ont plus d'expression publique dans le magazine des châtelleraudais à cause de ce divorce, ce qui est inéquitable.
En gros, c'est "tout faire sauter" plutôt que les voir gagner. Les gens de la rue ne le savent pas, mais le microcosme le ressent et l'a compris. Prenez la mesure de cela, ce que je dis doit servir.
Les contre-vérités affluent mais il n'est pas à cela près: GUERIN est officiellement encensé mais c'est Annick DEYNA qu'il voulait promouvoir au canton ouest, GODIN de même est cité favorablement alors qu'on sait dans quelles conditions de violence ils se sont séparés à la Ville, etc...
Si erreur fondamentale il y a, fondamentalement, c'est-à-dire au plus profond de nos exigences démocratiques, c'est que cet homme reste dans le jeu politique comme le "chien de pique"; il va falloir, pour le bien commun, que les hommes et les femmes de bonne volonté prennent leur courage à deux mains, se rebellent et refusent ce climat de terreur au sens 1793-1794, car c'est de cela qu'il s'agit. Cela peut prendre la forme d'une conférence de presse le moment venu. Il y aura des dégâts, c'est certain, mais le contexte est historique, il nous faut enfin sortir d'une vision successorale de la politique et, d'une certaine manière, reprendre le pouvoir. En songeant d'abord à nos habitants.
Pour ma part, on comprendra que je ne vais pas, sous les coups, éternellement tendre la joue (gauche ) dans un sourire de sainteté: c'est dans ma lecture du jour, en page 107 de Dom Jean-Pierre LONGEAT, père abbé de l'abbaye bénédictine de LIGUGE ("24 heures de la vie d'un moine") que je trouve ceci:
"C'est ainsi que l'on est appelé à supporter avec intelligence toutes les adversités comme des illusions de discorde et à ne jamais leur riposter par la colère mais par la charité. Il n'est jamais profitable de répondre au mal par le mal. Cependant, il ne s'agit pas non plus de céder à tout: savoir donner une bonne parole ou adopter une attitude mentale appropriée devant une situation d'adversité, voire d'agressivité, est indispensable. Il faut apprendre à se montrer ferme et ne pas céder à la tentation de la démission par lassitude".
Vous pouvez compter sur moi. A suivre.