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Défendre notre territoire

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9 décembre 2017 6 09 /12 /décembre /2017 00:54

En effet Jean d'Ormesson aimait ce lieu qu'il considérait comme l'une des manifestations de l'existence de Dieu. Cette rediffusion est pour lui.

"Ganagobie, lieu si particulier entre Digne les Bains et Manosque, perché sur un promontoire depuis mille ans -sans compter les temps antérieurs, pré-historiques jusqu' aux gallo-romains-.

Un prieuré rattaché à Cluny, longtemps abandonné et en ruines, restauré depuis quelques décennies, est aujourd'hui occupé par des Bénédictins ayant trouvé l'abbaye de Hautecombe en Savoie trop envahie par le tourisme; en bas l' immense vallée de la Durance et au loin les pré-Alpes. Une vue circulaire sublime sur la Provence.

L'église du prieuré est d'un art roman épuré, sobre, puissant, seulement gratifié de mosaÏques presque byzantines dans le choeur, représentant d'ailleurs des scènes non religieuses: des combats, des animaux, dont un éléphant. Une lumière discrète traverse les vitraux aux verres désormais contemporains très simples. Le cloître, visible depuis la nef, est de faible dimension mais on le sent en effet "puissant".

Prier et marcher à Ganagobie, cela donne une paix, une sérénité, un détachement, une quiétude.

Pourtant ce calme apparent est troublé par le souvenir de Gaston Dominici, la fameuse affaire Dominici de 1952 et plus -le triple crime d'une famille anglaise a été commis sur la commune voisine de Lurs près de la Durance-; en effet, c'est sur ce plateau de Ganagobie, les années antérieures à 1915, que cet homme courageux, avec le statut de fermier, va élever des moutons, faire du seigle, du blé, du bois qu'il portera deux fois par semaine avec sa mule au boulanger de la Brillanne en contre-bas; Gaston Dominici y travaillera dur pour faire les marchés de Forcalquier, d'Oraison et de Digne; sur ce plateau brassé par le vent, entre des bois de petits chênes exténués, résistent au temps des ruines de bâtiments: ceux occupés il y a presque cent ans par Gaston et sa famille? Cette évocation criminelle, même si beaucoup sont persuadés de l'innocence de Gaston Dominici, agit comme un caillou dans une sandale. C'est gênant. On peut lire en faveur de l'innocence le bouquin passionnant de William Raymond (préfacé par Alain Dominici, un petit-fils), "Dominici non coupable -les assassins retrouvés", Flammarion 2003). La démonstration est forte et permet de réconcilier le souvenir de Gaston Dominici avec la pureté de Ganagobie. Ouf."

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8 décembre 2017 5 08 /12 /décembre /2017 05:24

Je n'en avais jamais entendu parler, bien que proche géographiquement, avant de lire un ouvrage de Jean-Paul Bouchon sur "les fous et les illuminés du centre-ouest"; puis en février 2003 j'appris fortuitement que le groupe des salésiens de Châtellerault sous le patronage du Père Charles Fazilleau organisait un pèlerinage à l'Ile Bouchard, pèlerinage que j'ai accompli (une douzaine de kilomètres à pied entre Chazelles et l'Ile Bouchard où l'aînée des petites voyantes de 1947, Jacqueline Aubry, nous reçut avec délicatesse).

Le 8 décembre 1947, jour de l'Immaculée Conception, et un dimanche, dans l'église Saint Gilles de l'Ile Bouchard, apparaissent à un groupe d'enfants, dans le coin gauche du chœur, une belle dame avec une ceinture bleue et un bel ange, selon leur expression; ces deux personnes seront identifiées comme la Vierge Marie et l'ange Gabriel, qui vont se manifester chaque jour aux enfants -et à eux seuls- jusqu'au dimanche suivant; le curé local est d'abord dubitatif puis l'église s'emplit de curieux au fur et à mesure jusqu'à ce fameux dimanche de huitaine où elle est bondée. L'apparition se manifeste pour la dernière fois ce jour-là et la belle dame envoie un signe, un immense rayon de lumière balayant l'église plutôt très sombre en ce jour d'hiver, provoquant un "'Oh!' d'admiration crédule au sein d'une foule perturbée.

La rencontre -rare- avec Jacqueline Aubry en 2003, âgée de 12 ans en 1947, fut émouvante. Cette personne n'a jamais cherché à retirer profit ou renommée de cette fameuse semaine, elle qui fut guérie de ses mauvais yeux dès le premier soir, se contentant de retransmettre les messages de la belle dame: prier pour les familles, prier pour la France en cette période difficile de l'après-guerre. J'en suis ressorti profondément troublé et, souvent, mes pas me guident dans l'église Saint Gilles de l'Ile Bouchard; je suis heureux d'indiquer d'ailleurs que j'y avais convié en 2007 des musulmans châtelleraudais, eux qui respectent Marie, et que ce fut pour ces hommes un moment fort.

Nul doute que cette semaine les pèlerins afflueront.

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 09:15

"Comme un chant d'espérance" est le titre de l'ouvrage de Jean d'Ormesson datant de 2014 et republié chez Folio Gallimard en 2015 essentiellement consacré à l'hypothèse de Dieu, où il conclut notamment par: "Il nous est permis de nous raccrocher, dans le délire de la raison et dans le désespoir, à cette folle espérance: Dieu n'existe pas, mais il est. (...) notre mort à tous (...) n'aurait pas le moindre sens si la gloire de Dieu (...) ne régnait pas aussi et déjà sur ce tout primordial dont l'autre nom est ce rien où nous retournerons et que, dans notre folie, nous appelons le néant."

Je viens de le re-parcourir en 45 minutes et ce livre très fin, ciselé comme à l'habitude, a de l'intérêt pour tous, croyants et non-croyants.

Lisant dans mes intentions, Luc Ferry, dans le Figaro de ce jour, associe Jean d'O. et Johnny dans la même notoriété  et dans la même importance symbolique pour notre société. Dès hier, je les voyais tous les deux dans la salle d'attente du Ciel, à consulter des magazines, puis, à force d'attendre silencieusement, qui finissaient pas échanger. L'un s'interrogeait sur Dieu, l'autre arborait en permanence sa croix christique imposante sur sa poitrine. Je pense qu'ils sont immensément frères. Il y a des binômes insolites qui meurent ainsi quasiment ensemble, je me souviens ainsi d'Emile Zatopek, le coureur à pied, et de Théodore Monod, l'homme du désert, le même jour; là, par politesse, Johnny a cédé la préséance de quelques heures à Jean d'O. Ces binômes incongrus de prime abord nous interrogent sur l'idéal humain à atteindre, qui est intérieurement la synthèse des deux.

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 05:27

Profitant, si je puis dire, du décès de Patrick Henry qui en fut libéré pour raisons médicales, le journal "le Parisien" du 4 décembre publie un article sur la maison centrale de Châteauroux Saint Maur; j'y ai travaillé de 1983 à 1986 et j'ai lu bien sûr ces lignes avec une émotion particulière.

Je découvre que l'établissement héberge actuellement 206 détenus dont 35 condamnés à la réclusion criminelle à perpétuité, le journaliste étant éberlué de ce quantum qui lui paraît important. Or, entre 1983 et 1986, Saint Maur avait entre ses murs, pour presque autant de personnels de surveillance et autres qu'aujourd'hui, 400 détenus dont une bonne centaine de "perpètes". Comment faisait-on alors pour tenir la boutique à une époque où la discipline était assez rude mais où nous connaissions notre population sur le bout des doigts (les fameuses réunions quotidiennes du matin au BIC -le bureau d'information et de coordination-)? Cette discipline exigée s'accompagnait il est vrai d'un énorme travail au sein de la commission d'application des peines et auprès de la Chancellerie pour monter des dossiers de commutation de perpétuité en 20 ans (20 ans à partir du décret de grâce, mais ce qui changeait tout, donnait des perspectives de transfert en centre de détention, plus "ouvert", etc ...). Je peux dire que c'est là que j'ai tout appris.

Dans l'article j'ai lu qu'on y fabriquait encore des cercueils pour l'Institut Médico Légal de Paris, nous avions obtenu le marché à l'époque (bonjour le contrôle avant la sortie du camion!), ce n'était certes pas des cercueils princiers aux poignées en or ... La prison et la mort: je me souviens aussi de la fabrication à Fleury Mérogis -c'était en 1982- de crucifix pour les cercueils et de mon faisceau lumineux, la nuit, sur ces amoncellements quand même très particuliers. En termes pédagogiques, a-t-on réfléchi sur le fait, pour des condamnés pour meurtres, de fabriquer cercueils et crucifix?!!!

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6 décembre 2017 3 06 /12 /décembre /2017 05:42

Souvent, quand la vie est difficile, une rupture d'environnement est salutaire.

Le réseau des Centres d'initiatives pour valoriser l'agriculture et le milieu rural (CIVAM campagnes vivantes, 58 rue Regnault 75013 PARIS, 01 44 88 98 58 www.civam.org) permet d'offrir à des personnes citadines qui ont besoin de temps pour oublier un peu leurs problèmes de "souffler" quelques jours ou quelques semaines à la campagne, essentiellement chez des paysans, symboliquement rétribués.

Ceux-ci ne se transforment pas en travailleurs sociaux et continuent de vaquer à leurs obligations agricoles ou d'accueil en gîtes, emmenant leurs ouailles, souvent des femmes, à la manipulation de la paille, aux soins des animaux ou à la récolte des légumes; disponibilité et attention sont les maîtres mots de la réussite de cette opération.

Le registre est différent mais en 2008 nous avions travaillé sur une sorte de jumelage entre une classe et une ferme afin que les enfants tirent bénéfice de notions importantes comme le rythme des saisons et le respect du temps ou les aléas de la nature et plantent, chaque année, un arbre qui témoignerait de leur ancrage terrien pour les décennies à venir. Revivre à la campagne.

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5 décembre 2017 2 05 /12 /décembre /2017 01:30

Ainsi au niveau national l'association féminine Soroptimist avait-elle choisi de faire débat sur les violences faites aux femmes  à partir du visionnage du film de Xavier Legrand "Jusqu'à la garde" dont la diffusion publique n'interviendra qu'en février prochain.

Le film a été primé à Venise, il est de qualité en termes de sujet et d'interprétation, et a nourri abondamment la conférence à sa suite ce jeudi 30 novembre au cinéma Loft de Châtellerault. Progressivement, on assiste à la montée en puissance d'un conflit familial qui, du civil classique devant le juge aux affaires familiales, va se rapprocher insidieusement du pénal. J'y ai malheureusement retrouvé ce qui fait mon travail quotidien, souvent.

Le film démarre dans le bureau du juge aux affaires familiales et une chose m'a frappé, bien que j'en sois connaisseur: la féminisation de la justice et notamment de la justice familiale; le juge, le greffier, l'avocat de l'homme et l'avocat de la femme sont tous de sexe féminin. Je ne dis pas que cela comptera dans l'évolution catastrophique du "futur ex"-mari, mais quand même, ce sentiment d'isolement masculin dans l'épreuve n'est pas indifférent. En tout cas, le film mérite d'être vu et commenté, il pose des questions existentielles sur les rapports homme-femme et surtout sur l'origine -ancienne- de la violence au sein d'un couple.

Les gens du CIDF qui étaient là ont démontré, s'il en était besoin, que la tâche est immense, en termes de culture, d'éducation, de réponse et d'accompagnement. Et de l'un et de l'autre.

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4 décembre 2017 1 04 /12 /décembre /2017 06:12

Ah! Nouvelle traduction du Notre Père ... premier dimanche hier du nouveau texte quand "et ne nous soumets pas à la tentation " devient "et ne nous laisse pas entrer en tentation". Nuance, au motif que Dieu, qui nous laisse libres, n'aurait pas l'outrecuidance de nous "soumettre". Se mettre à la place de Dieu pour connaître ses pensées, trop fort.

Rappelons-nous que jusqu'à Vatican II on disait même: "Et ne nous laisse pas succomber à la tentation".

On vit sur la traduction des premIers siècles de Saint Jérôme mais personne n'a jamais su avec quelle vérité et quelle retranscription respectueuse on est passé d'un côté de l'araméen employé probablement par Jésus à l'hébreu et de l'autre de l'araméen au grec, et même après coup de l'hébreu au grec puis avec Saint Jérôme du grec au latin avec ce mot de la fin de la phrase: "tentatio", "tentationem" alors qu'il semblerait qu'intialement il eut mieux valu dire "épreuve" au lieu de "tentation". Notre nouveau texte n'est pas allé au bout de la réforme et aurait donc du retenir "et ne nous laisse pas entrer en épreuve". Ce sera pour la prochaine fois!

Mais très franchement, entre l'écriture inclusive et le nouveau Notre Père, je pense sincèrement que l'on s'éloigne de l'essentiel et qu'alors que le Titanic coule, on continue de vérifier si les extincteurs sont aux normes. Allez, bonne semaine! Ite, missa est.

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3 décembre 2017 7 03 /12 /décembre /2017 03:33

Il ne s'agit pas de rappeler le titre du livre de Georges Orwell mais, en cette période de Noël, profitant d'une lecture d'un conte de Charles Dickens, de se remémorer un souvenir d'enfance.

Folio Gallimard dans cette collection à deux euros a sorti "Joyeux Noël" et "Au pied du sapin", deux petits ouvrages rassemblant des écrits autour de Noël: Maupassant, Cendrars, Aymé, Apollinaire, Giono, Allais, Daudet, Andersen et son terrible conte "la petite fille aux allumettes", et bien d'autres. Parfois le prétexte de Noël est quand même fort éloigné, comme avec "Fascination" de Balzac ou  "un arbre de Noël et un mariage" de Dostoïevski.

Mais c'est Charles Dickens, avec "Un arbre de Noël" qui a fait ressurgir en moi un Noël d'enfance; en ce temps-là, mon père se retirait la nuit dans son atelier pour fabriquer nos jouets en secret; le Père Noël avait alors peu de revenus et, en plus, il était habile de ses mains. Parmi ces jouets, une ferme des animaux, en bois, inspirée de la ferme réelle de mes grands parents maternels, à la Petite Vaux: la maison d'habitation, la grange, l'écurie, l'étable, les clapiers, le toit aux cochons, le pigeonnier et la niche du chien. Ce jouet, qui a 55 ans, vit toujours, continuellement sorti de son placard, d'abord par mes enfants puis par mes petits enfants. Mon père dont les mains sont désormais âgées, affaiblies et imprécises a trouvé l'énergie pour restaurer le support que des vers minuscules avaient entrepris de dévorer et pour rafistoler la clôture. Nul doute que pour ce nouveau Noël, après la découverte des présents contemporains, les enfants retourneront à la vieille ferme des animaux, faiseuse de rêves, rassurante, éternelle.

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2 décembre 2017 6 02 /12 /décembre /2017 05:45

Ainsi Châtellerault a-t-il décidé d'installer le chapiteau de l'Ecole du Cirque sur le site de l'ancienne Ecole de Gendarmerie à proximité immédiate du bâtiment qui est destiné normalement à l'établissement du nouvel hôtel de police: le clown blanc de la police et de la loi à côté de l'Auguste de la fantaisie et des démonstrations spectaculaires. Un peu comme dans les films de Charlie Chaplin avec l'éternel couple de Charlot et du policier lui courant toujours après.

Certes il n'y aura pas de clown à l'Ecole du Cirque de Châtellerault, comme d'ailleurs dans toutes les écoles de cirque; en effet il faut pour devenir un vrai clown non seulement posséder à merveille les arts de l'équilibre, de la chute, du jonglage et de la musique - ce qui peut s'apprendre dans des écoles-,  mais surtout avoir affronté les épreuves de la vie -ce qui ne s'apprend pas dans des écoles- et avoir en quelque sorte "de la bouteille".

Il n'empêche, ce voisinage est incongru; il témoigne aussi de l'incapacité municipale à avoir imaginé pour ce site un ensemble ayant du sens, contrairement à nous dès 2007 puis à Michel Guérin, avec nous, en 2014.

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1 décembre 2017 5 01 /12 /décembre /2017 01:23

J'avais déjà écrit il y a fort longtemps à ce sujet. Le sculpteur et ancien médecin de Targé Francis Guyot se fait littéralement taper dessus au sujet de son oeuvre la Main jaune, faisant du rond-point de Pila (prononcez Piwa) l'un des plus malheureusement célèbres de France. Pourtant je me souviens d'un monde fou, officiels et autres, pour l'inauguration, malgré le mauvais temps. La Main jaune, dont on peut contester en effet l'opportunité ou les matériaux ou l'emplacement, présente quand même quelques arguments en sa faveur: c'est une œuvre collective (passionnés individuels, AFPA et entreprises mécènes), qui a du sens (un hymne à la tradition automobile châtelleraudaise, avec le génie de l'œuf comme étant l'invention à venir, ) et qui trône sur un emplacement stratégique entre le Technoforum des idées et la zone nord de l'industrie, en sortie d'Autoroute. On voit de loin cette main qui sort de l'horizon comme la main gonflée d'un noyé de plusieurs semaines sortant d'un amoncellement de bois lors d'une crue d'avril (c'est un souvenir professionnel).

Une rumeur relayée par la presse récemment indique que Francis Guyot se lancerait dans une nouvelle aventure scupturale, on parle de la plaine d'Ozon, là où un immense Tour, la T8, fut rasée. Je lance l'idée du Pied bleu, certes par analogie anatomique du jeu de mots mais aussi parce que nos champignonnières disparues mais qui furent florissantes jusqu'à peu de temps n'ont jamais été honorées et encore moins artistiquement. Ozon, à l'entrée sud, par opposition à la Main jaune au nord, pourquoi pas? Je rappellerais à toutes fins que le rond-point de Pila après l'installation de la statue, fut rempli de casseaux de parpaings et de béton venant d'immeubles détruits de la Plaine d'Ozon, l'opération étant présentée par la Ville comme un hommage à ces défunts bâtiments et à leurs populations ... avant que l'on se rende compte que tout ce méli-mélo de caillasses était ingérable en termes d'entretien. On a mis une pelouse "nickel" à la place, dans l'indifférence générale.

J'encourage évidemment Francis Guyot à persévérer; cela fera parler et c'est toujours bon.

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