Clémenceau, un radical, disait qu'"en politique, il n'y a qu'une faute: désespérer".
Pendant cette campagne humainement passionnnante des sénatoriales, j'y songe en étant dans mon jardin: un vieux lilas mauve, plus vieux que moi, que nous avons dû en partie émonder cet hiver, vient de donner en son sommet, en septembre, une superbe fleur, cinq mois après la période normale de floraison. Incroyable. Donc, tout est possible. Ne pas désespérer. David contre Goliath bis. Vous serez surpris!